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TPMP : Jean-Michel Maire subira une castration chimique temporaire avant chaque émission.

L’arrivée de la blogueuse mode Yasmine Golotchoglova ne serait pas étrangère à ce léger traitement préventif et sans gravité, imposé par le CSA.

Mis à jour.

En effet, le journaliste-chroniqueur Jean-Michel Maire devra subir un traitement léger temporaire pour tenter d’apaiser ses ardeurs, suite à ses antécédents durant le tournage l’an dernier avec Soraya. Un infirmier lui fera une piqure 20 mn avant le début de la diffusion. L’infirmier de 150 kg, du nom de Garry est également catcheur à ses heures perdues.

La blogueuse mode Yasmine Golotchoglova.


Source : Instagram.

La production de la très populaire émission TPMP (Touche pas à mon poste), diffusée sur la chaîne C8, a été contrainte de réaliser ce traitement, dit-on temporaire et léger, sur son chroniqueur. « L’arrivée de la séduisante Yasmine Golotchoglova constitue un trop grand risque pour les nerfs de Jean-Michel Maire. Et après les 3 millions payés l’an dernier pour la blague téléphonique de Cyril Hanouna, on ne peut pas se permettre une autre amende », révèle le responsable communication de la chaîne. « Elle a la tête bien faite et la tête bien pleine aussi. Elle est experte en mode et maquillage. Avec tout cela, nous avons très peur de la réaction de notre Jean-Michel. On vient de sortir de la polémique quand il a embrassé le sein de Soraya. On ne va pas prendre le risque encore une fois qu’il embrasse un bout de téton qui dépasse dans un décolleté. Jean-Mimi sera un peu dans les vaps les 15 premières minutes mais il va se ressaisir tout au long de l’émission. Je suis certain que nos fidèles Fanzouzes comprendront », prévient le cadre de C8.

Contacté, Jean-Michel Maire n’a pas voulu faire de commentaires sur le sujet. Cependant, un proche de la production nous indique qu’il est motivé et hâte de commencer TMPM.

Le CSA précise que le traitement ne fera plus effet après l’émission. Le chroniqueur pourra donc reprendre une activité sexuelle tout à fait normale. Le traitement pourra être arrêté dès la première émission si le sujet se tient correctement et n’a pas les yeux baladeurs, ajoute le service médical du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.

Photo : capture d’écran tv.

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