PeopleSportTech & Sciences

Ribéry – Défécation de paillettes qui font « un bien fou » : un proctologue explique les sensations et autres ressentis sur le corps et le moral.

Le succulent plat principal savouré dans un prestigieux restaurant de Dubaï par le brillant footballeur Franck Ribéry, évoluant dans le drastique club germanique du Bayern Munich, fait un buzz inédit pour une « simple grillade plaquée or », selon un community manager (crieur public sur internet, ndlr). Cependant, un commentaire publié sur les réseaux sociaux par son épouse agite bien davantage la toile, mais également l’ensemble de la communauté scientifique, aussi bien nationale qu’internationale.

Les paillettes en or qui recouvrent les entrecôtes, et qui feraient « un bien fou », deviennent donc un sujet d’étude lors de congrès et de symposiums de médecine et psychologie, à travers les quatre coins de la planète. Un éminent proctologue a décidé de nous en dire davantage sur les effets lors de sa traversée digestive, mais surtout sur les sensations mentales ressenties lors de sa déjection, de ce désormais légendaire met, aussi savoureux qu’onéreux.

« Envié par certains »

Une simple vidéo d’un paisible repas dans un restaurant très couru, propriété du Docteur ès grillades, le fameux et unique cuisinier-people Nusret Gökçe, plus connu sous le pseudo de « Salt Bae » sur Instagram et ailleurs, pour son artistique geste que même certains samouraïs jalousent, lors du salage des plats, qui cause de milliers de tendinites à de nombreux commis de cuisine amateurs, créé l’évènement aussi bien en France, que dans toute la planète football. Bien qu’envié par certains pauvres, mais pas tous, et également critiqué par certains bobos à la bien-pensance démesurée, de la taille de leur égo surdimensionné, nombreux sont celles et ceux qui défendent notre Rib national (Franck Ribéry, ndlr). « Rib, ça veut dire ‘travers de porc’ en anglais. Je viens de l’apprendre. Starfou, je vais choisir un autre diminutif, c’est sûr. Je vais prendre un pseudo qui ne soit pas péché », indique l’intéressé, tout en réalisant de fabuleux et furtifs petits ponts footballistiques sur l’ensemble des membres de la rédaction du site lejournalnews.


« Je m’en fous comme de mon premier biberon au Maroilles »

« Ribéry est un valeureux ch’ti qui vient d’en bas, comme moi. Je dis comme moi, car on habitait dans deux immeubles voisins, en bas de la rue. On vient d’en bas tous les deux, quoi. Cette histoire de côtelette (entrecôte, ndlr) à 478 ou 1.200 euros, selon les versions, je m’en fous comme de mon premier biberon au Maroilles. Chacun fait ce qu’il veut de son pognon. Le Ribéry, c’est son argent honnêtement gagné, après tout. Il n’a rien volé à personne. Je ne comprends pas les gens qui le critiquent. Chacun est libre, sacré nom d’un parigot. En plus, notre Ch’ti Rib donne de l’oseille a plein d’associations. Désolé d’avoir dit Rib. A s’qui paraît, il aime pas qu’on l’appelle comme ça. je sais pas pourquoi. Donc, il faut arrêter de le traîner dans la boue, même s’il aurait pu me donner ces 478 ou 1.200 euros, au lieu de bouffer cette connerie de steak (entrecôte,, ndlr) en forme de lingot d’or. C’est juste un avis, je ne réclame rien de sa part, je ne fais pas la manche, même pour 478 ou 1.200 énormes euros qui m’auraient permis de faire réparer ma vieille bagnole. Maintenant qu’elle est panne, je ne peux même plus acheter de diesel à 50 centimes le litre ou de cigarettes à 2 euros le paquet en Belgique. Donc, je ne mendie pas pour cette histoire d’entrecôte 24 carats, car on a notre fierté dans le Nord, même si le Front national (Rassemblement national, ndlr) arrive premier dans notre région à chaque élection. On passe pour quoi, avec des maires FN (RN, ndlr) dans le Nord ?. Ils y connaissent rien en économie en plus, les gens du FN (RN, ndlr). Je vais vous le dire, pour quoi on passe. On passe pour des cons, voilà tout. Mais le FN (RN, ndlr) en tête des élections dans le Nord, c’est l’exception qui confirme la règle, comme disent les gens intelligents. Malgré ça, on est quand même fiers dans le Nord, vous m’entendez ?. Ecrivez-le bien dans votre papelard à la noix. Voilà, c’est tout ce que j’avais à dire. Je t’offre une bière au Maroilles ?. Allez, ça me fait plaisir. Il ne faut jamais dire non à une invitation dans le Nord, c’est connu. Comment j’ai épousé ma cousine, d’après toi ?. J’ai pas pu dire non à son père, qui est aussi à la fois mon oncle, mon gendre et mon cousin. Ça a l’air compliqué, je sais, mais pas tant que ça, en fait », tente de m’expliquer un courtois ancien voisin du footballeur.

« Cela tient presque du miracle »

Alors que les traiteurs et les bouchers-charcutiers reçoivent un nombre record de commandes pour avoir des entrecôtes avec des « paillettes en or véritable comme celles à Ribéry », le monde médical est également en effervescence, mais pour des raisons bien lointaines de la gastronomie, même si ces raisons sont proches de l’estomac. Depuis les truculents messages sur internet de l’épouse du talentueux et toujours aussi véloce footballeur, les scientifiques s’interrogent sur les effets de l’ingestion de viande recouverte de paillettes en or. La compagne du footballeur avait tout d’abord posté un premier message sur les réseaux sociaux, afin de défendre son époux, disant « Je vais officiellement être une kaïra ce soir et pour ceux qui viendront l’ouvrir je bloque bloque bloque ». Ensuite, pour défendre davantage son mari, Wahiba Ribéry a publié le texte suivant: « Pour ceux que ça intéresse oui nous avons chié des paillettes et bordel de m***e ça fait un bien fou ça nous change de d’habitude quoi ! ». Il n’en a pas fallu davantage pour mettre le monde de la recherche en émoi, scientifiquement parlant. « La gastronomie et la science sont intimement liées, c’est de notoriété publique. Il n’y a qu’à voir le nombre d’intoxications alimentaires à cause de la bouffe, en raison de ces put***s de virus, de ces saloperies de bactéries et de ces vermines de parasites. Fort heureusement, là, ce n’est pas le cas. La viande est de qualité et toutes les conditions d’hygiène sont apparemment sûres et optimales. Personne n’est tombé malade, bien au contraire, allais-je dire sans malice aucune (rire). Avec le cas présent des paillettes en or, la science et le football sont en symbiose. Une réelle communion s’est produite. Qui aurait-pu penser cela un jour ?. Science et football dans la même phrase. Cela tient presque du miracle. Si je n’étais pas un fervent fan de Darwin, je dirais Alléluia ! », précise un scientifique.

« Le Prix Nobel avec ces put*** d’entrecôtes bling-bling ».

« Cette gentille dame a bien écrit que le fait de déféquer lesdites paillettes, ‘ça fait un bien fou’. Regardez le ‘tweet’ de Mme Wahiba. Je ne l’invente pas. Aussi, nous avons décidé de mener avec mes collègues, d’éminents professeurs-docteurs, des études sur le processus de digestion de mets d’origine animale couverts d’or. D’avance, cela a l’air fascinant. C’est quand même la première fois que nous nous intéressons à autre chose qu’à des maladies et à leurs saloperies d’effets secondaires qu’entraînent certains médicaments, qui avaient pour objectif initial de remettre sur pieds les malades qui les prenaient, et non pas de leur refourguer d’autres maladies. En fait, presque tous les médicaments ont des effets secondaires, mais ne l’écrivez pas, je tiens à rester en vie. Je ne veux pas me fâcher avec les lobbies pharmaceutiques. Ils sont plus dangereux que la pègre, plus féroces que la FIFA, plus insensibles que les criminels-dépeceurs de chair humaine et même plus sanguinaires que les abattoirs que l’association L214 filme en cachette avec ses caméras VHS. Ils auraient pu filmer avec du bon matos, au moins. Vous avez vu la qualité de leurs images ?. Je leur prescrit d’acheter du meilleur matériel pour sensibiliser les gens sur l’horreur que subissent les animaux de boucherie qui ne se font même pas engourdir le cerveau avant d’être égorgés. Donc, au sujet des lobbies chimico-nucléo-pharmaceutiques, je ne veux pas de problèmes avec eux et me retrouver tout au fond d’un put*** de fleuve, les pieds dans le béton, avec préalablement du plomb dans ma caboche au QI de 160, tout ça parce que j’ai parlé des effets secondaires des médicaments. N’écrivez pas mes propos, par pitié. Donc, pour en revenir à nos entrecôtes recouvertes de feuilles d’or, nous avons déjà fait appel à des cobayes qui mangeront, chacun, un bon kilogramme de viande recouverte d’or. Ensuite, nous allons analyser leurs émotions lorsqu’ils déféqueront (feront caca, ndlr). Il y aura également des comportementalistes, ainsi que des spécialistes en sociologie, en PNL (programmation neuro-linguistique, ndlr) et en études psychiatriques pour mener cette étude de manière optimale, et ainsi avoir les données les plus précises pour donner les meilleurs résultats des sensations ressenties. Si je n’ai pas le Prix Nobel avec ces put*** d’entrecôtes bling-bling, je me foutrai une triple dose de vaccin contre la grippe dans chaque bras. A moi le Prix Nobel (large sourire rêveur). Pour une fois, la proctologie sera à l’honneur. Dans vos culs les chirurgiens !. D’habitude, ce sont toujours eux qui reçoivent le prix et qui se tapent les meilleures gonzesses lors des cérémonies. Lors de la prochaine remise du Prix Nobel, les chirurgiens frimeront moins et ils arrêteront de trémousser du cul pour nous narguer, nous, les proctologues, les mal-aimés de la médecine. Chirurgiens, chirurgiens, j’aurais plutôt tendance à dire chirurgiens-bouchers, sans jalousie aucune, mais le Serment d’Hippocrate et le Code de déontologie de la médecine me l’interdisent. Cependant, dans votre rectum les chirurgiens ‘rageux’ et jaloux de mon futur Prix Nobel ! », assure le proctologue-chercheur en médecine.

« Une grande avancée scientifique pour l’Humanité »

D’après l’analyse des visages et des électrocardiogrammes des premiers cobayes qui ont déféqué les paillettes dorées, les scientifiques ont déduit que la sensation lors du rejet par voie rectale de ces confettis en or « qui coûtent bonbon » est « médicalement supportable », mais aussi « mentalement et émotionnellement agréable ». Cela picoterait un tout petit peu au début, mais « c’est tout à fait normal », selon le docteur ès sophrologie en charge du département « Risques et douleurs » de cette mission scientifique. « Les parois anales mettent environ 2 secondes pour s’adapter à la fine rugosité des paillettes. Fort heureusement, avec le lent parcours digestif qu’effectuent les steaks à 500 euros pièce, les paillettes s’effritent et réduisent en termes de taille et de superficie. Au final, les grains de paillettes chatouillent l’anus, sans plus, certifie un scientifique de l’équipe. Mais ce qui est étonnant, scientifiquement parlant, c’est que ces paillettes ont des répercussions émotionnellement très agréables sur le système nerveux des cobayes. En effet, d’après les mesures que nous avons réalisées sur le système nerveux, grâce à des capteurs sensoriels ultrasensibles placés au niveau du crâne des cobayes, la notion de plaisir sensitif entre dans le processus de déjection. Le plaisir anal n’est donc pas une légende urbaine, ni un mythe. C’est bien une réalité. Le sexologue, recruté pour l’occasion, en a perdu son Vidal (latin, ndlr). L’or en paillette ne nuit aucunement aux parois de l’appareil digestif. Il provoque également une sensation de bien-être, à la limite des bienfaits procurés par le yoga. Cela est une petite déjection pour l’Homme, mais une grande avancée scientifique pour l’Humanité ».

« On va me regarder en train de chier »

Alors que les spécialistes sont tous heureux, voire aux anges pour certains d’entre eux, les cobayes de ces ingestions de colossaux morceaux de viande couverts de paillettes dorées, quant à eux, sont plutôt sur la défensive. Ils appréhendent cette expérience d’un genre nouveau, inédite dans l’histoire de la recherche scientifique. Un support psychiatrique a été mis en place pour les aider durant ce magnifique périple scientifique. « D’habitude, on me fait des prélèvements de sang, d’urine ou d’excréments. Mais là, on va me regarder en train de chier. Mon visage sera filmé en plus, pour que les professeurs s’assurent de voir à mes grimaces faciales, si c’est agréable ou pas de chier des paillettes en or. Il y aura aussi des internes en médecine. Eux, ils vont se foutre de ma gueule, j’en suis sûr. J’espère que ces petits cons ne mettront pas la vidéo sur Youtube. L’équipe scientifique, ce sont des gens que je ne connais même pas, en plus. Là, j’ai peur, je le reconnais. J’espère que j’arriverai à couler un bronze, sinon je pourrai dire adieu à mon chèque de cobaye scientifique. Pourtant, avant, lors d’anciennes expériences en tant que cobaye-testeur, j’avais déjà englouti des dizaines de comprimés, d’un seul coup, sans respirer, dont certains étaient radioactifs, mais j’avais pas la trouille comme pour ces entrecôtes plaquées or qu’il faudra digérer et surtout qu’il va falloir faire ressortir pas le trou de mon cul. J’espère en tout cas que ça me fera du bien, même si j’en doute. J’espère que ça ne va pas m’égratigner le fion. C’est que personnellement et surtout financièrement, je vais en avoir besoin de mon anus. D’abord, j’aurais besoin de faire caca sans douleurs, c’est naturel et compréhensible. C’est sensé comme demande, non ?. Tu seras d’accord avec moi lejournalnews, hein ?. Mais aussi financièrement, je vais en avoir besoin de mon trou du cul. J’aurais vraiment besoin que mon anus soit intacte, car je dois tester une nouvelle crème hémorroïdaire et aussi des suppositoires connectés nouvelle génération, dans le cadre d’autres expériences rémunérées. Il faut dire que les puces des suppositoires connectés sont de la taille de processeurs Pentium 2. Oui, les gros microprocesseurs. Ceux qui m’ont embauché, ils n’ont pas pu faire plus petit. Ils me l’avaient dit lors de la mesure de mon derrière, tout en s’excusant platement devant moi. Il faut dire que depuis la baisse des APL, le fait d’être engagé comme cobaye, ça me permet d’arrondir les fins de mois qui commencent le 15. Mais là, c’est plus un job, mais une épreuve, pire que l’examen de première année », explique avec anxiété un étudiant en 1ère année de médecine.

Les résultat de cette étude scientifique d’envergure seront publiés, d’ici l’an prochain, dans la très sérieuse publication « Digestion review ».

 

Tweet Ribéry et l’entrecôte couverte de paillettes en or.

Source : Twitter.

 

Crédit-photo : jwvein, pixabay, cc0.

Partager.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

lejournalnews.com