Economie

Une dizaine de centrales nucléaires seront remplacées par des usines de confection de pulls à col roulé et de doudounes en prévision de l’hiver a annoncé le gouvernement.

Une nouvelle qui réjouira aussi bien les adhérents du parti de la majorité présidentielle que les férus d’écologie et de sobriété énergétique.

Dans le but de limiter la consommation d’énergie, une dizaine de centrales nucléaires seront transformées en usines textiles pour répondre aux besoins de vêtements chauds prônés par les ministres du gouvernement. « Ma facture de gaz me coûte plus cher que mon loyer. Je vais faire comme la Première Ministre Élisabeth Borne, je vais porter une doudoune quand je bosserai », confie une cadre supérieure en télétravail.

« Faire face à la disette qui vient… »


Dans le cadre de ce revirement industrielo-énergétique, les vêtements fabriqués seront les pulls à col roulé, devenus tendance grâce à une allocution du Ministre de l’Économie Bruno Le Maire, et les indispensables doudounes « dans un premier temps pour faire face à la disette qui vient en termes de chauffage qui nous attend. L’erreur n’est pas permise quand la température ambiante est à 19°. Ça ne rigole pas », prévient un élu.

« C’est le monde à l’envers »

Les noms des centrales concernées n’ont pas encore été dévoilés. « 15 ans d’études en physique nucléaire pour qu’au final, je me retrouve à faire des put***s de calculs sur la dimension des points zig zag ? Avec tout le respect que j’ai pour l’industrie du textile. Quelle mouche a donc piqué les ronds-de-cuir du gouvernement à vouloir supprimer cette industrie de pointe ? Nous avons la chance d’avoir, en France, un secteur nucléaire au top, et voilà que les ministres conseillent de porter un col roulé ou une doudoune et de faire tourner à plein régime les usines à charbon. C’est le monde à l’envers », philosophe un expert détenteur de plusieurs doctorats en génie énergétique et en physique nucléaire.

Les vendeurs de cravates sont également hors d’eux. « Bruno Le Maire a dit qu’il ne portera plus de cravate, c’est un comble ! Un ministre sans cravate, c’est comme porter des chaussettes blanches avec un costume : inconcevable ! », s’insurge un célèbre designer de mode, tout en malaxant une balle anti-stress car il est en retard pour sa prochaine collection qui sera présentée lors de la Fashion week parisienne.

 

Crédit-photo : Image par Stefano Ferrario de Pixabay.

 

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