Espagne : la Catalogne vote pour le retour de Neymar à Barcelone.
La Catalogne est au bord de l’implosion. La tension monte entre les soutiens du club du FC Barcelone et les forces de l’ordre. Des agents de la sûreté ont confisqué les urnes, empêchant ainsi les citoyens fans du Barca de voter.
Ils sont des milliers à avoir passé la nuit devant les bureaux de vote. Ils ont apporté sacs de couchage et tentes de camping pour être les premiers à demander le retour du joueur de football Neymar, actuellement au PSG, au sein du collectif barcelonais.
Mais les opposants sont nombreux.A commencer par l’UEFA et la FIFA, qui jugent ce vote illégal. « Neymar a un contrat avec le PSG, ce n’est pas la démocratie qui le refera revenir au FC Barcelone« , prévient un cadre de l’UEFA.
A cause de Messi, Ronaldo n’est pas considéré comme le meilleur jouer d’Espagne.
Parmi les détracteurs au maintien de la Catalogne en Espagne, une majorité de fans du Real de Madrid. « Nous sommes pour l’indépendance de la Catalogne. Que le FC Barcelone aille jouer ailleurs, qu’ils aillent jouer dans un autre championnat, en France par exemple ou en Italie. On en a marre de leur joueur argentin. A cause de Messi, Ronaldo n’est pas considéré comme le meilleur joueur d’Espagne. Sans Messi, il pourra pulvériser tous les records d’Espagne », déclare un fan du Real.
Se prononcer pour le retour ou non du joueur brésilien dans l’équipe du FC Barcelone.
Le feuilleton Neymar continue, malgré son transfert au Paris Saint-Germain cet été. Les citoyens de Catalogne, en plus de se décider pour l’indépendance ou non de leur région, devront également se prononcer pour le retour ou non du joueur brésilien dans l’équipe du FC Barcelone.
Avec la sieste de lundi après-midi, les résultats auront du retard.
Les résultats sont attendus dans la nuit de dimanche à lundi. « Mais avec la sieste de lundi après-midi, les résultats auront du retard », prévient un agent municipal.
Les barcelonais sauront en fin de semaine si la MSN (Messi, Suarez, Neymar) se reformera.
Crédit-photo : Ivan McClellan, cc by 2.0.